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Du bon usage de l’autobiographie pour le combat politique ou la simulation de soi : avec quelques autobiographes italiens (Pellico, Frignani, Antonelli, Bontempelli ou Elisabeth Rasy…).
Les XIXe et XXe siècles voient se transformer un genre dont les conventions semblaient sceller l’immutabilité. Mais, sous l’effet du contexte historique et culturel, simulations, dissimulations et fictions pénètrent la trame du discours autobiographique. Les données fondatrices du genre s’en trouvent subverties : de l’entrée en scène de la folie à la simulation, au stratagème dicté tantôt par l’histoire tantôt par les contingences d’une écriture existentielle.
Giuditta Isotti-Rosowsky
Avant-propos
L’inscription historique
Gianfrancesco Borioni
La follia, strategia di libertà : Le memorie di Angelo Frignani (1802-1878)
Gianfrancesco Borioni
Il libro di un pazzo di Giovanni Antonelli : un esempio di autobiografia popolare del xixe secolo
Laurent Scotto
Le témoignage autobiographique. Deux exemples : Luchino Visconti et Giuseppe De Santis
De la simulation
François Bouchard
Eva ultima, du roman à l’autobiographie fictive
Tatiana Puccianti
Elisabetta Rasy entre autobiographie et autoanalyse
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Lire avec les oreilles et les pieds, tel est le défi relevé par Littératures francophones et musiques de l’Atlantique noir qui analyse les formes et les rythmes d’écritures artistiques issues de l’expérience commune de la domination occidentale.
La nécessité de nous orienter dans l’espace pour y projeter nos déplacements a donné aux cartes une importance cruciale pour notre existence. Cette impulsion cartographique est ici interrogée par le biais d’aller et retours entre géographie, cartographie et littérature.
Comment appréhender la littérature en se projetant vers les œuvres à créer ? A l’aune de la recherche-création, cet essai prend le parti fort de définir le littéraire de manière prospective, en apportant de solides repères théoriques.
« Abscons », « difficile »… : la lecture de Derrida en rebute plus d’un. Et si cette illisibilité avait un sens ? C’est le défi de ce livre : interpréter les textes doubles du philosophe avec les outils de la rhétorique.
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