Introduction. Écrire au seuil de l’indicible
– L’esthétique, une question d’éthique
* Définir l’indéfinissable.
* À la recherche de l’Origine absolue.
* Post-modernisme et « grands Récits ».
* Nancy et l’interruption du mythe des origines.
* Le risque majeur de l’écriture.
– Pour une esthétique du désoeuvrement
* Penser un certain dépassement de la limite : l’apport de Kant.
* Le neutre.
* Figures de l’infigurable.
Chapitre I. Edmond Jabès et « le risque d’un nom »
* Écriture et judaïsme
* Un certain judaïsme
* Un double indicible
* L’interruption du mythe : le Sans-Visage et le Christ
* Le rapport (sans rapport) à l’origine
* Signe et circoncision
* Une chair faite de texte et le Verbe fait de chair
* Le Livre inachevé et le livre achevé
* Le danger de l’inversion
* Le chiasme de la Lettre et de l’Esprit
* Le chiasme, une figure de rhétorique
* L’ontologie négative de Merleau-Ponty
* Une topologie de l’Etre
* L’incompossibilité du temps
* L’empiétement et la réversibilité des perspectives
* La chair et le Livre
* La perpétuelle prégnance : l’« hyper »-mise en abyme de Jabès
* Chiasmes thématiques
* La question et la réponse
* Un dernier mot
Chapitre II. « Éffacé avant d’être écrit » : Maurice Blanchot et l’art du récit
* De l’origine à la mort
* L’Arrêt de mort
Chapitre III. « La où l’imaginaire est le plus fort » :
Duras et l’amour invivable entre les sexes
* Un indicible horizontal
* Emily L.
* Le doublage