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Introduction I. Giacomo Casanova, de l’homme au mythe. Les scénarios du Casanova de Fellini Chapitre 1. Le scénario inédit, ou l’Histoire de ma vie au prisme fellinien
Lignes directrices de l’écriture Des thèmes revisités : curieux soupers et duels de pacotille Portraits de personnages
Chapitre 2. Le scénario Einaudi, ou la tentation du mythe
Coupes à double sens Des fantasmes matérialisés Métaphorisations felliniennes.
II. Le mythe casanovien conduit à ses extrêmes. Le tournage du Casanova de Fellini Chapitre 1. Les séquences supprimées, ou l’emprise de l’image mythique
Un personnage redéfini Des égarements censurés Amours jugées trop vertes… ou trop mûres
Chapitre 2. Les séquences modifiées, ou la boursouflure du mythe
Un « sur-mythe » très fellinien L’uniformisation des personnages secondaires Le sens du tragique.
III. Du mythe casanovien au type fellinien. La postproduction du Casanova de Fellini Chapitre 1. Le montage, ou l’implosion du mythe
Un film kaléidoscopique Le mythe malmené : « de l’amour à la besogne » Cuts anticipés
Chapitre 2. La postsynchronisation et le mixage, ou l’éclosion d’un type
L’étouffement du personnage par le narrateur Types vocaux et linguistiques Musiques d’écran ou mélodies intérieures
Conclusion Bibliographie Filmographie Annexe Crédits photographiques
À partir d’une étude approfondie des trois étapes principales de la réalisation du film Le Casanova de Fellini (adaptation du scénario, tournage et post-production), Emmanuelle Meunier dégage de grands axes de réflexions autour de la relation conflictuelle qui unit deux mythes italiens celui de Casanova et celui de Fellini.
Le réalisateur italien trouve dans Casanova un personnage complexe, entre mythe et personnage historique, et n’a de cesse de manipuler cette image typique en la confrontant à ses propres préoccupations de créateurs.
Emmanuelle Meunier est professeur en BTS.
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Ce numéro témoigne de l’engouement actuel pour la recherche-création. Il aborde un ensemble de productions artistiques issues de différents domaines disciplinaires, dont le point commun est d’articuler théories et pratiques.
Le mouvement de globalisation de l’art contemporain affecte les pratiques des artistes et la vie des institutions. Il s’agit, à partir de quelques exemples clés, de montrer ce processus et l’état actuel de la question.
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Les dernières années ont vu se multiplier les recherches sur l’art moderne et contemporain inspirées par les méthodes de la sociologie ou de l’histoire sociale de l’art. Mais cette orientation est encore loin d’être courante, dans une discipline, l’histoire de l’art, qui a une longue tradition de défiance vis à-vis des sciences sociales.
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